[./index.html]
[./bio.html]
[./francophonie.html]
[./livres.html]
[./presse.html]
[./contact.html]
[./mariage.html]
[./couronnement.html]
[./persepolis.html]
[./cyrus.html]
[./video.html]
[./presse2011.html]
[./iryana2011.html]
[http://roidejure.fr]
[http://www.davidatlan.com]
[http://www.davidatlan.com]
[./presse2008.html]
[./presse2009.html]
[./presse2010.html]
[./iryana2011.html]
[./presse2013.html]
[./presse2011meylan.html]
[./cyrus_pahlavi.html]
[./anniversaire2008.html]
[./farah75ans.html]
[Web Creator] [LMSOFT]
www.shahbanou.fr                             
Mémorial des Rois,
section  perse                          
Point de Vue n° 3260  Dossier spécial sur la disparition du Prince Alireza PAHLAVI
semaine du 12 au 18 janvier 2011
Interview de la Shahbanou d'Iran Sa Majesté l'Impératrice Farah PAHLAVI
à la veille de célébrer son 75e anniversaire

Point de Vue n° 3404

semaine du 16 au 22 octobre 2013
L’Impératrice Farah
à la veille de son 75e anniversaire,
nous reçoit en famille :

« MES PETITES-FILLES,
LE BONHEUR
DE MA VIE »
  
Exclusif
A la veille de son 75e anniversaire, l’Impératrice Farah nous a reçus chez elle, à Washington.
« Mes petites-filles sont le bonheur de ma vie »

Soixante-quinze ans d'une vie à nulle autre pareille. Un destin tout en contraste. Celui d'une jeune Iranienne nommée Farah Diba qui devient Impératrice, puis qui connaît l'exil, la mort de son époux et celle de deux de ses enfants. A Washington, la Shahbanou a reçu « Point de Vue » en compagnie de trois de ses petites- filles, à la veille de son anniversaire. Une rencontre émouvante, simple, et comme toujours profondément humaine.
L’Impératrice Farah 
à la veille de son 75e anniversaire :

« J'ai eu une vie
extraordinaire
et très riche, et
C'EST  AU  ROI 
QUE JE LA DOIS . »
  
Et si, pour une fois, l'histoire, la grande et la petite, avait choisi de laisser l'Impératrice Farah en paix. Si, pour une fois, la vie était exempte de drames, de révolutions, de disparitions. Si, pour une fois, seul l'avenir était là, en la personne de ses quatre petites- filles que la Shahbanou chérit plus que tout. C'est à Washington que l'Impératrice a choisi de célébrer son 75e anniversaire, le 14 octobre, entourée de sa famille. Quelques jours auparavant, elle a reçu « Point de Vue avec Noor, Iman et Farah. Elle nous a raconté ses joies de grand-mère — Iryana, sa quatrième petite-fille n'était pas là, mais elle avait fait un long séjour chez sa grand-mère, à Paris, quelques semaines auparavant —, et aussi comment elle avait surmonté les épreuves de ces dernières années, et notamment la mort de son fils Ali Reza.
Madame, vous nous recevez aujourd'hui en compagnie de trois de vos petites- filles, Noor, Iman et Farah. Pouvez-vous nous parler un peu d'elles?

Elles sont vraiment, avec leur cousine Iryana, le bonheur de ma vie. Avec chacune d'entre elles, j'ai une relation très privilégiée, faite de beaucoup de tendresse et de confiance. Les deux aînées, qui sont maintenant des jeunes filles, me confient volontiers les petites choses qu'elles n'ont pas envie de dire à leurs parents. Nous nous envoyons beaucoup de SMS. Iryana vit avec sa maman qui s'occupe très bien d'elle, elle n'a pas pu être là pour mon anniversaire, mais elle vient de passer dix jours chez moi à Paris. Et j'ai été tellement heureuse de la voir et de vivre tous ces moments avec elle.
La relation avec les petits-enfants est plus facile que la relation que l'on peut avoir avec ses propres enfants. Vous n'avez pas les mêmes responsabilités. Bien sûr, vous vous posez des questions, vous êtes inquiète pour leur avenir, mais pas avec autant d'intensité que pour vos enfants. De toute façon, ce n'est pas à vous qu'appartient la décision finale. La seule responsabilité que vous avez est de les gâter, de les aimer. C'est plus simple et très agréable.


Vous dites qu'elles vous idéalisent un peu?

Oui, elles m'envoient souvent des SMS pour me dire que je suis trop gentille avec tout le monde, que je suis ceci ou cela, toujours sur un mode très positif. Parfois j'ai l'impression qu'elles me parent de toutes les qualités. Mais cela a aussi un aspect positif (elle sourit), cela m'oblige à rester à la hauteur, et à essayer de ne pas les décevoir par rapport à l'image qu'elles ont de moi.
Noor, l'aînée, a 21 ans, Iman a 20 ans, Farah 9 ans et Iryana 2 ans. Pouvez-vous nous parler un peu de chacune d'entre elles?

Une grand-mère est certainement un très mauvais juge des qualités de ses petits-enfants. Moi aussi j'ai peut-être tendance à les idéaliser. Toutes les quatre sont très intelligentes et ravissantes.

Si je dois les décrire d'une manière un peu plus individuelle, je crois pouvoir dire que Noor est une jeune fille très sensible et qu'elle a un cœur d'or. Elle travaille très bien à l'Université de Washington, puisqu'elle a choisi de rester près de ses parents, mais elle n'a pas encore fait de choix professionnels précis.

Iman est sans nul doute plus décidée. Elle a trouvé sa voix beaucoup plus rapidement. Elle étudie l'économie à l'Université de Michigan et elle réussit parfaitement. Elle aussi a un cœur d'or.
Pour la petite Farah, il est encore trop tôt pour définir des tendances de caractères très nettes. Tout ce que je peux en dire pour le moment c'est qu'elle est une fillette adorable.

Dans le cas d'Iryana, une chose m'a beaucoup frappé lorsqu'elle a séjourné chez moi, à Paris, au mois de juillet dernier. C'est une enfant très sociable, qui parle volontiers aux gens, même dans la rue. Le soir, elle ne voulait jamais se coucher avant que j'aille la voir dans sa chambre. Elle était vraiment très mignonne et surtout je me suis aperçu qu'elle était très sensible à la musique. Ce qui était exactement le cas de son père au même âge. La musique était un élément fondamental de la vie d'Ali Reza, comme de la mienne d'ailleurs. Cela m'a beaucoup touché de voir que sa fille, pourtant née plusieurs mois après sa mort, partageait ce goût pour la musique.
Vous comprenez cette génération ? Leurs goûts, leurs envies ?

Il y a des choses qui n’ont pas beaucoup changé depuis mon époque, il y a soixante ans. Elles sont sportives et très coquettes. Enfin, j'étais très sportive et peut-être un peu plus garçon manqué quand j'avais leur âge. Je suis devenue coquette plus tard. Je les ai beaucoup encouragées à faire du sport, elles pratiquent le ski, la natation, le tennis, la plongée sous-marine avec leur père. Elles parlent l'anglais, le persan et un peu le français, car Iman et Noor ont commencé leur scolarité dans une école française aux Etats-Unis. Elles me parlent évidemment de leurs études, me confient leurs secrets.
Lorsqu'elles étaient plus jeunes, j'ai essayé de les initier aux musiques que j'aime, peut-être pas assez sans doute. J'ai des goûts très éclectiques. J'aime toutes les musiques, de la musique folklorique iranienne à la musique classique, en passant par les rythmes africains et même certains chanteurs de rap iraniens que j'écoute sur des radios iraniennes. Elles ont des goûts plus de leur âge et apprécient une musique très contemporaine. Mais il m'est arrivé de les accompagner à des concerts. Je ne sais pas si je comprends leurs goûts, et peu importe en fait, ce qui est certain c'est qu'elles ont confiance en moi et que je les aime beaucoup.
Je leur dis toujours : ce qui est important est que vous trouviez ce que vous aimez et que vous puissiez vous accomplir dans votre vie professionnelle, personnelle, affective. Le reste n'est pas grave.


Vous avez évoqué plusieurs fois le rapport très direct que vous entretenez avec elles ? Pensez-vous qu'elles aient compris qui était leur grand-mère ?

Oui, les deux aînées s'en rendent compte, mais peut-être que je devrais leur raconter un peu plus ce que représentait cette époque en Iran. Elles n'ont jamais vécu dans ce pays et n'ont pas connu leur grand-père [Sa Majesté le Shah d’Iran, décédé en exil au Caire le 27 juillet 1980].
L'aînée, la Princesse Noor, pourrait être l'héritière de la dynastie Pahlavi?

Tout cela est très hypothétique, mais on ne sait jamais. Elle est en tout cas l'aînée des enfants de mon fils aîné, qui est actuellement le Prétendant au Trône [Note du Mémorial des Rois : l’héritier du Trône est officiellement Roi de jure depuis sa prestation solennelle de serment du 26 octobre 1980 au Palais de Koubbeh].

Si jamais une Monarchie constitutionnelle était rétablie en Iran, ce serait évidemment un symbole très fort surtout après tout ce que les femmes iraniennes ont enduré depuis des années, qu'une femme soit désignée comme l'héritière de son père et de la couronne. Exactement comme cela se passe aujourd'hui en Suède, aux Pays-Bas ou en Belgique.

D'ailleurs, ce ne serait pas une si grande innovation, il y a des précédents dans notre histoire. Nous avons déjà eu des Reines régnantes [Note du Mémorial des Rois : uniquement dans la période anté-islamique de la Perse, il s’agit d’une allusion aux trois Reines perses qui sont montées sur le Trône dans l’Antiquité : Homa, Azarmidokht et Pourandokht].

Mais pour l'instant, le plus important c'est qu'elle soit bien dans sa peau, comme ses sœurs et sa cousine, qu'elle étudie bien et qu'elle soit heureuse.
Vous avez évoqué la Princesse Iryana qui est née plusieurs mois après la mort tragique de son père, le Prince Ali Reza qui s'est suicidé le 4 janvier 2011.
Vous n'en avez jamais parlé depuis ?

C'est très difficile pour moi, et pour n'importe quelle mère bien sûr, de parler de la mort d'un de ses enfants. Surtout après la mort de ma fille Leila, en 2001 [Note du Mémorial des Rois: la Princesse Leila, décédée le 10 juin 2001 à l’âge de 31 ans].
Je ne sais pas si je peux trouver les mots pour expliquer le geste d'Ali Reza. Il a eu des problèmes dans sa vie. Certaines personnes ont profité de lui et lui ont fait du mal. Comme Leila, il a eu une adolescence douloureuse, durant l'époque la plus difficile de la Révolution iranienne et de notre exil.
Les deux aînés, Reza et Farahnaz avaient déjà une personnalité plus affirmée lorsque tout cela est arrivé. Les deux plus jeunes ont accusé plus fortement les chocs. Et cela a laissé des traces qui ne se sont jamais effacées. Il a connu des problèmes de dépression et puis, il y a eu ce... (l'Impératrice hésite) moment, je ne sais pas comment le qualifier. Un «accident », un moment de dépression plus violent que les autres... Je ne sais pas.

C'est une chose très dure, en fait impossible, pour une mère que d'admettre, je ne sais même pas si le terme est juste, la mort d'un de ses enfants. Je me dis toujours, si j'avais fait ceci ou si j'avais fait cela. Et je sais que cela ne sert à rien. Je revois leur enfance en Iran, durant nos années d'exil. Il y a sûrement des choses que je n'ai pas vues, des moments où j'ai été moins présente.
Pourtant j'avais une relation affectueuse, forte et constante avec mes enfants, même à l'époque de l'empire où nous étions tout de même très occupés. Je ne sais pas. Lorsque je suis moi-même découragée, que je sens que la tristesse me gagne, j'essaie de me donner du courage, en me disant que je dois rester disponible pour ceux qui restent : Reza, Farahnaz et mes petites-filles.
Justement. On ne parle jamais d'elle, on ne la voit jamais, mais que devient la Princesse Farahnaz, votre fille aînée ?

Elle va bien, dieu merci. C'est une telle chance pour moi de l'avoir. Nous nous parlons beaucoup. Elle a un rôle très important dans ma vie, et dans la vie de la famille en général. Elle est vraiment très proche de son frère aîné, de ses nièces et particulièrement de la petite Iryana.
Farahnaz est une femme d'un caractère extraordinaire. Elle n'a pas un gramme d'agressivité. Ses frères l'avaient surnommée «Mère Teresa ». Elle est très intelligente. Elle a fait de très bonnes études. Elle a des amis, une vie, mais elle veut que cette vie soit tranquille et très privée. J'imagine qu'elle souhaite se préserver le plus possible. Nous nous appelons tout le temps.
  
Et votre fils, le Prince Reza?

C'est lui qui a la tâche la plus difficile. Surtout avec ce qui se passe en Iran en ce moment. Il se dépense sans compter. Il fait tout ce qu'il peut pour son pays. Et heureusement, il a ce caractère très positif qui lui permet de surmonter beaucoup de choses.
« J'AI GARDÉ LES MEMES IDEAUX. »

Quand vous voyez cette nouvelle génération de vos petites-filles, qu'avez-vous envie de leur transmettre ?

Le plus important est de ne pas garder d'amertume en soi. Il faut toujours s'efforcer de voir ce qu'il y a de positif dans la vie. Et dieu sait que cela a parfois été dur pour moi d'appliquer cette maxime. Il est vrai que la vie est devenue très compliquée aujourd'hui. Lorsque je pense à mon enfance, je me dis que je suis restée une girl-scout, comme lorsque j'avais quinze ans. J'ai gardé les mêmes idéaux. J'essaie de rester bienveillante en dépit des aléas de la vie. Parfois c'est compliqué, mais je ne pense pas que j'ai eu tort. Ce sont ces idéaux que j'essaie de transmettre à mes petites-filles. Elles me le reprochent parfois, en me disant: «Tu es trop gentille avec tout le monde.» Mais je ne crois pas être trop gentille. J'essaie de l'être le plus possible et je n'y arrive pas toujours.
Pour moi c'est important, cela m'aide. Essayer d'être gentil, cela ne veut pas dire n'importe quoi. Cela signifie essayer de faire du bien, essayer de donner de l'amour. Et tant pis si ces raisonnements semblent un peu simplets aujourd'hui.
A mon âge, il est trop tard pour changer. Donner permet de recevoir. Après toutes ces années d'exil, 34 ans, quand je reçois des courriels de ces jeunes, à l'intérieur et à l'extérieur de l'Iran, je suis toujours très émue. Ils sont nés après la fin de la Monarchie, et pourtant, ils me connaissent, et ils m'écrivent avec tant de gentillesse et me demandent de les appeler. C'est aussi à eux, tout comme à mes petites-filles, que je m'efforce de transmettre ma manière de voir la vie d'une façon positive.
Il v a tant de choses dans la vie qui vous donnent de l'énergie positive. Je ne vis pas dans le passé et je ne suis pas d'une nature renfermée.
C'est lié à votre caractère ou à votre éducation ?

Certainement les deux. Le caractère joue, mais l'éducation a aussi son rôle. Que ce soit celle que vous donnent vos parents ou celle que l'on reçoit à l'école. Lorsque je pense à ma jeunesse, et à l'éducation que j'ai reçue, il v a maintenant plus de 60 ans, je remercie mes parents et surtout ma mère de m'avoir offert cette chance. De m'avoir donné la possibilité de venir en France. Je crois que c'est cette éducation qui m'a permis de rester à peu près normale tout au long de cette vie tout de même un peu hors du commun.
Vous ne croyez pas que vous avez aussi un sens de l'adaptation assez remarquable ?

(L’Impératrice rit).
C'est vrai que mon parcours de vie est assez atypique.
Mon enfance à Téhéran dans les années 1950, ma vie d'étudiante à Paris, ma vie de Reine, la Révolution, l'Exil...

Vous avez raison, on peut dire que j'ai un certain sens de l'adaptation. Heureusement que je l'avais d'ailleurs.
Je crois que ce qui m'a aussi beaucoup aidé autrefois et encore aujourd'hui, c'est d'avoir de l'humour. Par exemple lorsque je prends l'avion et que je me retrouve en train de passer la sécurité avec tout le monde. J'enlève mes souliers, et cela me fait rire parce que je pense à la manière dont cela se passait autrefois. Lorsque j'arrivais en Chine ou à la cour d'Angleterre, il y avait un tapis rouge en bas de la passerelle de l'avion, et les hymnes nationaux, et les gardes. Cela m'amuse de faire la comparaison entre ces deux vies, celle d'hier et celle d'aujourd'hui. Le fait d'avoir vécu vingt années d'une vie normale avant d'être Reine m'a beaucoup aidé à accepter tous ces changements.
Lorsque vous regardez cette vie aujourd'hui à 75 ans, quel est l'événement auquel vous pensez immédiatement et qui a été le plus important pour vous ?

Le moment le plus important de ma vie? Mon mariage sans aucun doute. C'est l'événement qui a changé radicalement ma vie.

J'ai eu une vie extraordinaire et très riche et c'est au Roi que je la dois.

Lorsque je me souviens de ma première rencontre avec lui, à l'ambassade d'Iran, à Paris, je ne savais pas qu'il allait changer ma vie.

Notre mariage a eu lieu le 21 décembre 1959 [Note du Mémorial des Rois : dans la Civilisation perse, le 21 décembre, solstice d’hiver, est une date éminemment symbolique correspondant à l’antique et perenne fête aryenne de « Shabe Tchellé », jour mythique de naissance de Mithra]. Curieusement, je m'en souviens beaucoup mieux aujourd'hui qu'il y a quelques années.
C'est peut-être dû au fait que j'ai écrit mes mémoires. Mais je me rappelle très bien m'être réveillée dans la maison de mon oncle où je vivais alors, au nord de Téhéran. Je me souviens aussi des très longs préparatifs, de ma coiffure et de ma robe, du moment où j'ai libéré les Colombes en sortant de la maison de mon oncle. Du trajet en voiture jusqu'au Palais de Marbre et des gens qui applaudissaient sur le bord de la route. Aujourd'hui, je me dis que cela a été l'événement fondamental d'une vie tout de même assez extraordinaire.
[Note du Mémorial des Rois : « Révolution iranienne » est une expression impropre usitée à tort par la Presse occidentale en lieu et place de l’expression consacrée et seule authentique et constamment attestée de « Révolution islamique ».
En effet, nul en Iran n’a jamais qualifié cette révolution d’iranienne, ni ses détracteurs iraniens, ni même jamais aucun de ses protagonistes. Et pour cause, elle fut anti-iranienne dans son essence même, les révolutionnaires, internationalistes, tant islamistes que marxistes, partageant la même exécration principielle de la notion de Patrie, et singulièrement la même détestation de l’iranité et du persianisme plurimillénaire ipso facto ancré dans l’Antiquité perse antéislamique. Il ne peut donc que s'agir d'une maladroite reformulation au moment de la retranscription par le journaliste des propos de l’Impératrice]
Propos recueillis par Vincent Meylan,
Photos de David Atlan
Interviews de la Shahbanou d’Iran Sa Majesté l’Impératrice Farah PAHLAVI

Point de Vue n° 3143 du 15 oct.    2008  Anniversaire                 
Point de Vue n° 3180 du  1er juillet 2009  Les larmes aux yeux     
Point de Vue n° 3236 du 28  juillet 2010  Les 30 ans de la disparition du Shah 
Point de Vue n° 3304 du 16  nov.  2011  L’Impératrice Farah présente la Princesse Iryana
Point de Vue n° 3404 du 16  oct.   2013  Les 75 ans de l'Impératrice Farah

Articles
Point de Vue n° 3260 du 12 janvier 2011 Farah, la douleur d'une mère
Point de Vue n° 3334 du 13  juin     2012 Les Paradis Perdus du Prince Cyrus Pahlavi